Aux petites heures de la nuit est un roman où la musique occupe une place importante. Cependant, les morceaux qu’on y retrouve n’ont pas forcément été ceux que j’ai écoutés pendant la rédaction de cette histoire.
Certains auteurs écrivent en musique pour s’imprégner d’une ambiance, s’inspirer d’un air, une chanson. Pour moi, c’est un peu différent.
Pendant longtemps – et ça remonte à l’époque où je faisais encore des études – j’ai eu besoin d’un silence total pour écrire, que ce soient des textes de fiction ou des dissertations de français, alors que mon frère et ma sœur grattaient allègrement du papier devant la télévision. Bien plus tard, débarrassée de mes obligations scolaires, j’ai continué à écrire mais le silence m’était toujours nécessaire afin de parvenir à me concentrer.
Et puis, du jour au lendemain, j’ai commencé à écouter de la musique tout en écrivant. C’était peu de temps après avoir débuté la rédaction des Petites heures, même si ce que j’écoutais n’avait pas de rapport avec les musiques auxquelles je faisais référence. Je n’étais plus ni gênée, ni déconcentrée, et ce, quel que soit ce que mes écouteurs diffusaient. Il m’est ainsi arrivé d’écrire des passages tristes sur des chansons très entraînantes, et des scènes plus légères sur de grands airs lyriques et solennels (car je suis très éclectique en matière de musique). Je peux tout aussi bien écrire dans le silence total qu’avec la radio en fond sonore, ça ne me dérange plus, et c’est une très bonne chose puisqu’en février dernier, victime d’une bonne grosse crève, j’ai pu avancer sur un chapitre tandis que je patientais (pendant plus de deux heures) dans une salle d’attente bondée et bruyante. Hélas, entre les cris des enfants et les récriminations des adultes, c’était bien loin d’être de la musique !
Si j’ai beaucoup écouté Depeche Mode au cours de l’écriture de Aux petites heures de la nuit, c’est Queen qui prédomine, pour l’instant, pendant la rédaction de Marathon men. À voir quelle sera ma playlist pour la prochaine histoire !
Tonight I’m gonna have myself a real good time…*
* Queen, Don’t stop me now
Certains auteurs écrivent en musique pour s’imprégner d’une ambiance, s’inspirer d’un air, une chanson. Pour moi, c’est un peu différent.
Pendant longtemps – et ça remonte à l’époque où je faisais encore des études – j’ai eu besoin d’un silence total pour écrire, que ce soient des textes de fiction ou des dissertations de français, alors que mon frère et ma sœur grattaient allègrement du papier devant la télévision. Bien plus tard, débarrassée de mes obligations scolaires, j’ai continué à écrire mais le silence m’était toujours nécessaire afin de parvenir à me concentrer.
Et puis, du jour au lendemain, j’ai commencé à écouter de la musique tout en écrivant. C’était peu de temps après avoir débuté la rédaction des Petites heures, même si ce que j’écoutais n’avait pas de rapport avec les musiques auxquelles je faisais référence. Je n’étais plus ni gênée, ni déconcentrée, et ce, quel que soit ce que mes écouteurs diffusaient. Il m’est ainsi arrivé d’écrire des passages tristes sur des chansons très entraînantes, et des scènes plus légères sur de grands airs lyriques et solennels (car je suis très éclectique en matière de musique). Je peux tout aussi bien écrire dans le silence total qu’avec la radio en fond sonore, ça ne me dérange plus, et c’est une très bonne chose puisqu’en février dernier, victime d’une bonne grosse crève, j’ai pu avancer sur un chapitre tandis que je patientais (pendant plus de deux heures) dans une salle d’attente bondée et bruyante. Hélas, entre les cris des enfants et les récriminations des adultes, c’était bien loin d’être de la musique !
Si j’ai beaucoup écouté Depeche Mode au cours de l’écriture de Aux petites heures de la nuit, c’est Queen qui prédomine, pour l’instant, pendant la rédaction de Marathon men. À voir quelle sera ma playlist pour la prochaine histoire !
Tonight I’m gonna have myself a real good time…*
* Queen, Don’t stop me now