Il est hautement frustrant, quand on a quelque velléité d’écriture, de n’écrire que très lentement. C’est hélas mon cas, et alors que les idées affluent (plus ou moins, mais toujours plus vite que ce que je peux les écrire, en tout cas), je suis incapable de suivre le rythme. Et, alors que j’aimerais vraiment travailler sur plusieurs histoires en parallèle, je peine à assurer la rédaction d’un chapitre – au mieux – par semaine – en période de vacances.
Tout ceci pour dire que l’histoire d’inspiration lovecraftienne qui me trotte dans la tête depuis quelque temps, elle n’est pas près d’arriver. ^^’
Mais pourquoi vouloir s’inspirer de Lovecraft, me direz-vous ?
Eh bien, parce que cet auteur américain est un des pères fondateurs du récit d’horreur, avec Edgar Allan Poe. Mort en 1937 sans avoir connu le succès, Howard Phillips Lovecraft a pourtant marqué de son influence de très nombreux artistes contemporains. Des écrivains, bien sûr, mais aussi des musiciens. Sur le plan pictural, on ne compte plus les multiples représentations des créatures blasphématoires de son panthéon cosmique.
Car l’œuvre de Lovecraft, c’est avant tout le Mythe de Cthulhu : une série de nouvelles fantastiques et horrifiques peuplées de créatures extraterrestres monstrueuses vivant dans des cités cyclopéennes aux confins de l’univers, et ourdissant de noirs complots afin de réétablir leur mainmise sur notre monde.
Mais ce qui fait aussi la singularité du Mythe, c’est qu’il a été, du vivant même de Lovecraft, enrichi par les écrits d’auteurs de ses amis, comme Robert E. Howard (auteur de Conan le Barbare) ou Robert Bloch (futur auteur de Psychose). Aujourd’hui encore, le cinéma, la bande dessinée et l’industrie du jeu vidéo continuent de se nourrir de cette influence ; et des auteurs, anonymes ou non, rendent toujours hommage à l’ermite de Providence dont l’œuvre, reconnue désormais à sa juste valeur, continue de séduire les lecteurs de par le monde.
Alors… pourquoi ne pas apporter moi aussi ma minuscule pierre à l’édifice ?
Ph'nglui Mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn.
(Dans sa demeure de R’lyeh la morte, Cthulhu rêve et attend – in L’Appel de Cthulhu)
* Pour en savoir plus sur Shub-Niggurath, Cthulhu et les autres Grands Anciens, cliquer ici.
Tout ceci pour dire que l’histoire d’inspiration lovecraftienne qui me trotte dans la tête depuis quelque temps, elle n’est pas près d’arriver. ^^’
Mais pourquoi vouloir s’inspirer de Lovecraft, me direz-vous ?
Eh bien, parce que cet auteur américain est un des pères fondateurs du récit d’horreur, avec Edgar Allan Poe. Mort en 1937 sans avoir connu le succès, Howard Phillips Lovecraft a pourtant marqué de son influence de très nombreux artistes contemporains. Des écrivains, bien sûr, mais aussi des musiciens. Sur le plan pictural, on ne compte plus les multiples représentations des créatures blasphématoires de son panthéon cosmique.
Car l’œuvre de Lovecraft, c’est avant tout le Mythe de Cthulhu : une série de nouvelles fantastiques et horrifiques peuplées de créatures extraterrestres monstrueuses vivant dans des cités cyclopéennes aux confins de l’univers, et ourdissant de noirs complots afin de réétablir leur mainmise sur notre monde.
Mais ce qui fait aussi la singularité du Mythe, c’est qu’il a été, du vivant même de Lovecraft, enrichi par les écrits d’auteurs de ses amis, comme Robert E. Howard (auteur de Conan le Barbare) ou Robert Bloch (futur auteur de Psychose). Aujourd’hui encore, le cinéma, la bande dessinée et l’industrie du jeu vidéo continuent de se nourrir de cette influence ; et des auteurs, anonymes ou non, rendent toujours hommage à l’ermite de Providence dont l’œuvre, reconnue désormais à sa juste valeur, continue de séduire les lecteurs de par le monde.
Alors… pourquoi ne pas apporter moi aussi ma minuscule pierre à l’édifice ?
Ph'nglui Mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn.
(Dans sa demeure de R’lyeh la morte, Cthulhu rêve et attend – in L’Appel de Cthulhu)
* Pour en savoir plus sur Shub-Niggurath, Cthulhu et les autres Grands Anciens, cliquer ici.