Eh bien voilà, un peu plus de six mois se sont écoulés depuis la sortie en ebook de mon premier roman Aux petites heures de la nuit et le moment est donc propice à un petit bilan.
Au niveau des ventes, y compris papier (bien que celles-ci soient négligeables), j’en suis à 521 exemplaires à ce jour. Ajouté à ceci 138 emprunts (depuis juillet, Amazon a décidé de comptabiliser les pages lues, rendant tout décompte précis impossible), cela fait 659 personnes à avoir été intéressées par mon histoire.
Je ne saurais dire s’il s’agit d’un bon chiffre ou d’un résultat fort médiocre, mais dans la mesure où je n’escomptais pas en vendre une dizaine (et encore, à des proches ^^’) je dois dire que pour moi, c’est un résultat non seulement inespéré mais surtout fantastique !
Merci donc aux gens qui ont acheté, emprunté, ou même simplement lu l’histoire sur le site dédié, en espérant, avant toute chose, qu’elle vous ait plu.
Si une suite aux Petites heures est toujours prévue (mais toujours pas commencée, en revanche), Marathon men continue d’avancer lentement mais sûrement. Treize chapitres à ce jour, et ce n’est pas fini ! Ci-dessous, un petit dialogue romantique entre mes deux apprentis marathoniens Victorien et Gwenaël, tiré du chapitre 12 :
Au niveau des ventes, y compris papier (bien que celles-ci soient négligeables), j’en suis à 521 exemplaires à ce jour. Ajouté à ceci 138 emprunts (depuis juillet, Amazon a décidé de comptabiliser les pages lues, rendant tout décompte précis impossible), cela fait 659 personnes à avoir été intéressées par mon histoire.
Je ne saurais dire s’il s’agit d’un bon chiffre ou d’un résultat fort médiocre, mais dans la mesure où je n’escomptais pas en vendre une dizaine (et encore, à des proches ^^’) je dois dire que pour moi, c’est un résultat non seulement inespéré mais surtout fantastique !
Merci donc aux gens qui ont acheté, emprunté, ou même simplement lu l’histoire sur le site dédié, en espérant, avant toute chose, qu’elle vous ait plu.
Si une suite aux Petites heures est toujours prévue (mais toujours pas commencée, en revanche), Marathon men continue d’avancer lentement mais sûrement. Treize chapitres à ce jour, et ce n’est pas fini ! Ci-dessous, un petit dialogue romantique entre mes deux apprentis marathoniens Victorien et Gwenaël, tiré du chapitre 12 :
« Comment te sens-tu ?
- J’ai mal dans la poitrine quand j’inspire, et vraiment l’impression d’avoir une plante qui me pousse dans les poumons. Je parie que le mec qui a écrit L’Écume des jours a souffert de ça, c’est pas possible autrement.
- Tu as lu L’Écume des jours ? s’étonna Gwenaël, son amant étant peu porté sur la lecture dès l’instant qu’elle ne concernait pas la presse sportive ou les romans ésotérico-policiers.
- Bien obligé, pour le bac français, la galère. Mais cette histoire de nénuphar pulmonaire, ça m’a marqué.
- J’espère juste que ça ne va pas se terminer de la même manière pour toi, le taquina Gwenaël.
- Il ne vaudrait mieux pas, parce que du coup tu serais obligé de te laisser mourir de chagrin. Et qui s’occuperait de Milla, ensuite ?
- Tu as une bien haute opinion de toi si tu t’imagines que je pourrais me laisser dépérir pour tes beaux yeux, tout chocolatés soient-ils.
- Traître, salaud. Fous immédiatement le camp de chez moi. »
À bientôt pour la suite !
- J’ai mal dans la poitrine quand j’inspire, et vraiment l’impression d’avoir une plante qui me pousse dans les poumons. Je parie que le mec qui a écrit L’Écume des jours a souffert de ça, c’est pas possible autrement.
- Tu as lu L’Écume des jours ? s’étonna Gwenaël, son amant étant peu porté sur la lecture dès l’instant qu’elle ne concernait pas la presse sportive ou les romans ésotérico-policiers.
- Bien obligé, pour le bac français, la galère. Mais cette histoire de nénuphar pulmonaire, ça m’a marqué.
- J’espère juste que ça ne va pas se terminer de la même manière pour toi, le taquina Gwenaël.
- Il ne vaudrait mieux pas, parce que du coup tu serais obligé de te laisser mourir de chagrin. Et qui s’occuperait de Milla, ensuite ?
- Tu as une bien haute opinion de toi si tu t’imagines que je pourrais me laisser dépérir pour tes beaux yeux, tout chocolatés soient-ils.
- Traître, salaud. Fous immédiatement le camp de chez moi. »
À bientôt pour la suite !